Le 9 septembre, le Mouvement Jeunes et santé mentale invitait les partis politiques à s’engager à tenir une commission sur la médicalisation des problèmes sociaux des jeunes, soutenu par un vaste réseau d’organisations incluant l’OTSTCFQ, l’Association des travailleurs et travailleuses de rue du Québec et le Regroupement des organismes communautaires québécois de lutte au décrochage.